jeudi 10 avril 2008
CE QUE JE DETESTE
LES CROTTES DE CHIEN SUR LES TROTTOIRES : Un petit rappel : « il existe des sacs afin de ramasser les excréments de votre chien » car sous les roues des poussettes ou sous les chaussures c’est INSUPPORTABLE !!!
LES CHAUSSURES A TALON
LE DESORDRE : C’est chouette de trier, ranger et organiser afin de mieux s’y retrouver
LA VULGARITE / L’IMPOLITESSE / L’EGOISME / L’HYPOCRISIE
LA VITESSE : Pourquoi allons nous trop vite, profitons du paysage pendant le voyage. « LA VITESSE EST DANGEREUSE !!! »
LE CAFARD : Au sens propre comme au sens figuré car il est difficile de s’en débarrasser.
LES PORTES QUI GRINCENT : Lorsque l’on veut se faire discret et ne pas faire de bruit c’est à ce moment là que la porte grince « met de l’huile ! »
LES MOUSTIQUES : Qui viennent nous bourdonner dans les oreilles la nuit et qui nous réveillent.
Vous aussi faites moi part de ce que vous aimez et détestez.
CE QUE J'AIME
CUISINER : Créer, mijoter, inventer et faire déguster de bons petits plats pour chaque repas de la journée.
LIRE : Cela me permet de m’enfuir de cette réalité qui n’est pas toujours gaie. Un livre est précieux, il fait rire, pleurer et nous transporte dans autres lieux.
VOYAGER : Découvrir d’autres horizons, d’autres populations et d’autres coutumes. Partager nos expériences et notre culture.
PHOTOGRAPHIER : Capturer l’instant magique ou nostalgique mais qui donne des souvenirs authentiques.
samedi 5 avril 2008
Est ce pour tout le monde pareil?
Bernard Werber « Nous les dieux »
"Dans le regard des autres, nous cherchons d’abord notre propre reflet.
En premier lieu, dans le regard de nos parents.
Puis dans le regard de nos amis.
Puis nous nous mettons en quête d’un unique miroir de référence. Cela signifie se mettre en quête de l’amour mais, en fait, il s’agit plutôt de la quête de sa propre identité.
Un coup de foudre s’avère souvent la trouvaille d’un « bon miroir », nous renvoyant un reflet satisfaisant de nous-même. On cherche alors à s’aimer dans le regard de l’autre. Instant magique où deux miroirs parallèles se renvoient mutuellement des images agréables. D’ailleurs, il suffit de placer deux miroirs face à face pour s’apercevoir qu’ils reflètent l’image des centaines de fois en une perspective infinie. Ainsi la trouvaille du « bon miroir » nous rend multiple et nous ouvre des horizons sans fin.
Quel sentiment de puissance et d’éternité.
Mais les deux miroirs ne sont pas fixes, ils bougent.
Ils étaient bien en face l’un de l’autre au début, mais même s’ils suivent un temps des cheminements parallèles, ils n’avancent pas forcément à la même vitesse et dans la même direction, ils ne recherchent pas non plus constamment le même reflet d’eux-mêmes. Alors survient ce déchirement, l’instant où l’autre miroir n’est plus en face. C’est non seulement la fin de l’histoire d’amour mais aussi la perte de son propre reflet. On ne se retrouve plus dans le regard de l’autre. On ne sait plus qui on est."
"Dans le regard des autres, nous cherchons d’abord notre propre reflet.
En premier lieu, dans le regard de nos parents.
Puis dans le regard de nos amis.
Puis nous nous mettons en quête d’un unique miroir de référence. Cela signifie se mettre en quête de l’amour mais, en fait, il s’agit plutôt de la quête de sa propre identité.
Un coup de foudre s’avère souvent la trouvaille d’un « bon miroir », nous renvoyant un reflet satisfaisant de nous-même. On cherche alors à s’aimer dans le regard de l’autre. Instant magique où deux miroirs parallèles se renvoient mutuellement des images agréables. D’ailleurs, il suffit de placer deux miroirs face à face pour s’apercevoir qu’ils reflètent l’image des centaines de fois en une perspective infinie. Ainsi la trouvaille du « bon miroir » nous rend multiple et nous ouvre des horizons sans fin.
Quel sentiment de puissance et d’éternité.
Mais les deux miroirs ne sont pas fixes, ils bougent.
Ils étaient bien en face l’un de l’autre au début, mais même s’ils suivent un temps des cheminements parallèles, ils n’avancent pas forcément à la même vitesse et dans la même direction, ils ne recherchent pas non plus constamment le même reflet d’eux-mêmes. Alors survient ce déchirement, l’instant où l’autre miroir n’est plus en face. C’est non seulement la fin de l’histoire d’amour mais aussi la perte de son propre reflet. On ne se retrouve plus dans le regard de l’autre. On ne sait plus qui on est."
mardi 18 mars 2008
MERCI
Mes messages et mes réponses peuvent parfois être long, car comme je le disais précédemment personne n’est au courrant de mon blog et j’essaie de le consulter lorsque je suis seul au bureau ou à la maison.
Encore merci à toutes pour vos commentaires et votre soutien.
Voici un poème que j’aime beaucoup (mais dont je ne connais pas l’auteur) et que j’aimerais vous dédier
Un sourire !
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant
Mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,
Il est le signe sensible de l'amitié.
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Rend du courage aux plus découragésI
l ne peut s'acheter, se prêter, ni se voler
Car c'est une chose qui n'a pas de valeur
Qu’à partir du moment où elle se donne.
Et si quelquefois, vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, donnez-lui le votre
Car nul n'a besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres.
lundi 17 mars 2008
La tempête s’est calmée
Le lendemain lors du câlin du soir, il a prit son fils dans les bras et lui a dit « oubli ce que t’a dit papa hier, c’était des bêtises », pour lui le sujet était clos, il ne m’en a pas reparlé. Ce week end, comme presque tous les week end, on ne s’est pas beaucoup vu, mais il n’y a pas eu de dispute. En faite, la situation dure depuis presque deux ans, j’ai souvent eu envie de partir mais pour aller où ? Je n’ai pas les moyens de m’offrir le même cadre de vie dans lequel on est.
J’ai vécu toute mon enfance dans un quartier difficile ou les jeunes faisaient du trafic d’armes et de drogue en bas de mon immeuble, où le taux de chômage et de délinquance était élevé et le sentiment d’insécurité permanent. J’ai réussi à fuir tout cela, j’ai fait de longues études pour y échapper et avoir une autre vie. Je ne voulais pas que mes futurs enfants connaissent la banlieue. J’ai l’impression d’être dans une impasse et puis comment effacer 10 ans d’histoire ?
J’ai vécu toute mon enfance dans un quartier difficile ou les jeunes faisaient du trafic d’armes et de drogue en bas de mon immeuble, où le taux de chômage et de délinquance était élevé et le sentiment d’insécurité permanent. J’ai réussi à fuir tout cela, j’ai fait de longues études pour y échapper et avoir une autre vie. Je ne voulais pas que mes futurs enfants connaissent la banlieue. J’ai l’impression d’être dans une impasse et puis comment effacer 10 ans d’histoire ?
dimanche 16 mars 2008
Séparation
Je pense que notre séparation est proche, nos conversations se résument à bonjour, au revoir, peux tu me passer le pain ? Et l’autre soir alors que mon fils voulait faire un câlin avec son papa et sa maman en même temps dans les bras avant de dormir, son père lui répond « à non ce soir c’est un câlin à papa d’abord et un à maman après car il va bientôt falloir s’habituer à vivre une semaine chez papa et une semaine chez maman » comment voulez vous qu’il comprenne ? Il n’a que 2 ans et demis, et moi je suis restée stupéfaite, déconfite par la remarque. Comment en est on arrivé la. Nous n’arrivons plus à dialoguer et il ne cesse de me répéter « tu n’as cas pas me provoquer et faire la tronche tout le temps, c’est toi qui cherche la merde ». Comment lui faire comprendre que j’en ai mare de vivre avec un fantôme, le matin on se voit à peine, ses soirées il les passe devant son ordinateur et le week-end à bricoler ou faire du sport. On ne se voit plus, on ne partage plus rien.
Un soir, après dîner alors que j’étais un peu fatiguée de ma journée et que j’avais quand même décidé de faire un bon petit repas, ce qui implique beaucoup de vaisselles ….après avoir couché notre fils il a filé directement sur son ordinateur, je suis alors venue le voir pour lui demander un peu d’aide, lui dire qu’à deux ça va plus vite, il me répond « à non tu vois là j’aimerais un peu me détendre, je suis fatigué » et moi alors après une journée ou je me suis levée à 6h, commencé à travailler à 8h, rentrée à 18h après être allée chercher mon fils à la crèche, fait le bain et préparé à manger je n’ai pas le droit d’avoir un peu de répits ? J’ai donc passé une demie heure seule dans la cuisine à tout laver et ranger.
Il a besoin de temps libre, de temps pour lui, alors il ne faut pas le déranger. Pour moi, la priorité c’est le bien être de ma famille, de mon fils, mes besoins et mes envies ne sont pas prioritaires cela passe en second, pour lui c’est différent et c’est ça que je ne comprends pas. S’il a décidé de faire de l’ordinateur (il est dans notre chambre) et d’écouter la musique malgré le fait que je veuille dormir, il ne comprends pas, pour lui c’est moi qui dérange (Je n’ai pas à me coucher tôt comme les poules) alors il continuera. Si je lui demande de l’aide pour quelque chose il me répondra « non je suis occupé là, j’ai pas le temps ». Je ne peux pas le solliciter alors je me débrouille, mais pour lui ce n’est jamais bien fait alors des fois il met la main à la pâte sous un coup de colère pour refaire je que j’ai déjà fait.
Mon fils réclame souvent son père le week-end, « il est où papa, qu’est ce qui fait papa ? » il partage peu de son temps libre avec lui, à jouer avec lui. J’espère qu’il n’en souffre pas trop d’avoir un papa fantôme.
Un soir, après dîner alors que j’étais un peu fatiguée de ma journée et que j’avais quand même décidé de faire un bon petit repas, ce qui implique beaucoup de vaisselles ….après avoir couché notre fils il a filé directement sur son ordinateur, je suis alors venue le voir pour lui demander un peu d’aide, lui dire qu’à deux ça va plus vite, il me répond « à non tu vois là j’aimerais un peu me détendre, je suis fatigué » et moi alors après une journée ou je me suis levée à 6h, commencé à travailler à 8h, rentrée à 18h après être allée chercher mon fils à la crèche, fait le bain et préparé à manger je n’ai pas le droit d’avoir un peu de répits ? J’ai donc passé une demie heure seule dans la cuisine à tout laver et ranger.
Il a besoin de temps libre, de temps pour lui, alors il ne faut pas le déranger. Pour moi, la priorité c’est le bien être de ma famille, de mon fils, mes besoins et mes envies ne sont pas prioritaires cela passe en second, pour lui c’est différent et c’est ça que je ne comprends pas. S’il a décidé de faire de l’ordinateur (il est dans notre chambre) et d’écouter la musique malgré le fait que je veuille dormir, il ne comprends pas, pour lui c’est moi qui dérange (Je n’ai pas à me coucher tôt comme les poules) alors il continuera. Si je lui demande de l’aide pour quelque chose il me répondra « non je suis occupé là, j’ai pas le temps ». Je ne peux pas le solliciter alors je me débrouille, mais pour lui ce n’est jamais bien fait alors des fois il met la main à la pâte sous un coup de colère pour refaire je que j’ai déjà fait.
Mon fils réclame souvent son père le week-end, « il est où papa, qu’est ce qui fait papa ? » il partage peu de son temps libre avec lui, à jouer avec lui. J’espère qu’il n’en souffre pas trop d’avoir un papa fantôme.
jeudi 13 mars 2008
SEULE
Pourquoi ai-je le sentiment d’être seule ? Par le fait de ne pouvoir parler à personne ? Ou bien suis-je un peu déprimée ?
Je comprends qu’il est difficile d’entendre quelqu’un raconter ses problèmes car nous en avons tous. Et puis, des problèmes ? Va-t-on me dire, mais quels problèmes ? Tu as un travail, un toit, un magnifique petit garçon et un mari !!! Ok j’ai effectivement tout ça mais je suis en manque d’AMOUR, d’AFFECTION, de CALINS, de SOUTIEN PHYSIQUE et MORAL.
Personne de mon entourage ne connaît l’existence de ce blog. J’essaie de ne rien faire paraître de mes sentiments au jour le jour et d’être toujours d’humeur égale. J’ai beaucoup d’empathie envers les autres et je suis souvent à leur écoute.
Je fais comme si de rien n’était mais au fond de moi je n’ai qu’une envie c’est de me confier, d’avoir une oreille attentive qui puisse me conseiller, avoir son point de vue, est ce que tous les problèmes viennent de moi ? Ou est ce que je ne supporte plus les remarques et les critiques de mon conjoint ? J’ai l’impression d’être toujours LA coupable, LA fautive. Je ne veux pourtant qu’une chose, c’est faire du bien autour de moi.
Je comprends qu’il est difficile d’entendre quelqu’un raconter ses problèmes car nous en avons tous. Et puis, des problèmes ? Va-t-on me dire, mais quels problèmes ? Tu as un travail, un toit, un magnifique petit garçon et un mari !!! Ok j’ai effectivement tout ça mais je suis en manque d’AMOUR, d’AFFECTION, de CALINS, de SOUTIEN PHYSIQUE et MORAL.
Personne de mon entourage ne connaît l’existence de ce blog. J’essaie de ne rien faire paraître de mes sentiments au jour le jour et d’être toujours d’humeur égale. J’ai beaucoup d’empathie envers les autres et je suis souvent à leur écoute.
Je fais comme si de rien n’était mais au fond de moi je n’ai qu’une envie c’est de me confier, d’avoir une oreille attentive qui puisse me conseiller, avoir son point de vue, est ce que tous les problèmes viennent de moi ? Ou est ce que je ne supporte plus les remarques et les critiques de mon conjoint ? J’ai l’impression d’être toujours LA coupable, LA fautive. Je ne veux pourtant qu’une chose, c’est faire du bien autour de moi.
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